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Cancer
Journée mondiale contre le cancer
Journée mondiale contre le cancer
Lancé
janvier 2023
Aidez-nous à Mettre fin au cancer. Le combat commence maintenant.
À l’occasion de la Journée mondiale contre le cancer, le 4 février 2023, nous passons à l’action pour créer un monde où moins d’êtres chers perdront la vie à cause du cancer. Poursuivrez votre lecture pour découvrir l’histoire d’espoir, d’amour, de courage, d’incertitude et de survie de six personnes inspirantes. Comme votre don pour la recherche sur le cancer sera doublé, il est d’autant plus important de donner généreusement. Choisissez la recherche qui vous inspire et faites un don aujourd’hui. Ensemble, nous pouvons faire une différence.
01
Aidez nos ambassadeurs de la Journée mondiale contre le cancer à combattre le cancer
Claire Trottier mène le combat contre le cancer du sein
Quand Claire Trottier a trouvé une masse dans son sein, elle voulait croire qu’il s’agissait d’un muscle tendu ou d’un ganglion lymphatique. Mais au fond d’elle-même, elle savait que c’était le cancer. Claire a interrompu le cours de sa vie et a subi des traitements pendant près d’un an; elle a connu la douleur des interventions chirurgicales et la désolation de perdre ses cheveux, ses sourcils et ses cils. Elle a accueilli l’année 2023 avec optimisme et remplie de gratitude à l’endroit de l’extraordinaire équipe de soins de santé du CUSM. Souhaitant redonner au suivant, la Fondation familiale Trottier fait un don équivalent à tous les dons recueillis pour le cancer du sein jusqu’à concurrence de 100 000 $.
« Quand j’ai reçu mon diagnostic, j’étais anéantie, mais je savais que j’étais atteinte de l’une des formes de cancer du sein les plus faciles à traiter. Ma vie ne sera plus jamais la même, mais je serai toujours reconnaissante d’être encore auprès de mon mari, et de voir mes enfants grandir. » –Claire Trottier
Pascale Charbonneau protège des générations de femmes
Pascale Charbonneau a vu sa grand-mère souffrir d’un cancer du col de l'utérus, puis sa mère d’un cancer de l’utérus. Elles avaient toutes les deux 62 ans au moment de leur diagnostic, et heureusement, elles ont toutes les deux survécu. Pascale a été vigilante concernant sa santé pendant toute sa vie et, effectivement, elle a reçu un diagnostic de cancer de l’endomètre à l’âge de 62 ans. Mais elle pouvait compter sur un atout dont avaient été privées les autres membres de sa famille : le test DOvEEgene. Ce test de dépistage précoce des cancers féminins mis au point par la Dre Lucy Gilbert du CUSM a permis de dépister le cancer de Pascale à un stade précoce, alors que le taux de survie est meilleur. DOvEE a non seulement changé la vie de Pascale, mais il pourra aussi changer la vie de sa fille et celle de sa petite-fille.
« Le fait de participer au projet DOvEE a non seulement changé ma vie, mais il changera aussi la vie de ma fille et celle de ma petite-fille. Si on peut dépister ces cancers à un stade précoce, on pourra sauver un grand nombre de vies. » –Pascale Charbonneau
Suzanne Sauvage alimente l’espoir des patients atteints du cancer du rein
Alors qu’elle était en route vers le travail un matin, Suzanne Sauvage a ressenti une douleur terrible à l’abdomen. Douze heures plus tard, elle a reçu un diagnostic de cancer du rein. Le choc initial s’est transformé en incrédulité, mais elle savait qu’avec les soins spécialisés du CUSM, elle avait une chance de s’en sortir. Elle a subi une importante intervention chirurgicale pour retirer son rein, suivie de traitements pour le cancer qui était apparu dans son poumon. Aujourd’hui, Suzanne est suivie de près par le Dr Simon Tanguay, et les soins qu’elle reçoit de tous les membres de son équipe soignante au CUSM lui on permit un retour à la santé. Tous les dons pour appuyer la recherche et les soins du cancer du rein seront doublés jusqu’à concurrence de 100 000 $ par La Fondation Emmanuelle Gattuso.
« Quand vous entendez le mot cancer, vous imaginez toujours le pire. Je me suis préparée pour un long combat et j’ai toujours gardé espoir. Je suis extrêmement reconnaissante au Dr Tanguay et à son équipe pour leur incroyable contribution à mon rétablissement » –Suzanne Sauvage
Nathan Boidman est la preuve vivante que la vie continue après le cancer de la vessie
Quand Nathan Boidman a vu du sang dans son urine, il a tout de suite su que c’était mauvais signe. Six jours plus tard, une intervention chirurgicale a confirmé ce qu’il craignait déjà : il avait le cancer. Sous les soins du Dr Wassim Kassouf, urologue au CUSM, Nathan a reçu des traitements de chimiothérapie, puis a subi une opération pour retirer sa vessie. La récidive du cancer de la vessie est courante, et pendant plusieurs années après cette intervention, Nathan a eu peur de ne pas survivre. Aujourd’hui, dix ans après son diagnostic et malgré les défis associés à sa maladie, il a l’impression d’avoir vaincu le cancer, et il est reconnaissant pour les soins spécialisés qu’il a reçus au CUSM. Tous les dons pour appuyer la recherche et les soins du cancer de la vessie seront doublés jusqu’à concurrence de 100 000 $ par La Fondation familiale Tino et Carmela Carrara.
« La récupération physique a été difficile, mais la récupération psychologique l’est encore plus. Ça prend vraiment beaucoup de temps. Vous vivez du déni et vous vous demandez comment et quand vous allez enfin vous sentir normal. » –Nathan Boidman
Eddy Nolan a consacré sa vie à combattre le cancer
Eddy Nolan est atteint d’un cancer de la gorge depuis 12 ans. Lorsqu’il a reçu son diagnostic en 2011, il a demandé à son médecin s’il allait survivre. Le médecin lui a répondu « on ne peut pas répondre à cette question, mais préparez-vous à tout un combat ». Eddy a reçu des traitements de chimiothérapie et 36 jours de radiothérapie, parfois deux fois par jour. Les traitements étaient incroyablement difficiles, mais Eddy était déterminé à montrer aux autres que le cancer n’est pas forcément une sentence de mort. Il puise son inspiration chez Terry Fox. Il court et recueille des fonds depuis 42 ans et il n’a jamais manqué une Journée Terry Fox. Tout comme Terry, il est déterminé à faire progresser la recherche sur le cancer. Tous les dons pour appuyer le Dr Sadeghi et la recherche et les soins du cancer de la gorge seront doublés jusqu’à concurrence de 100 000 $ par La Fondation Famille Mongeau.
«J'ai toujours de l'espoir et je m'accroche à cet espoir. Il n'y a pas de garantie, mais je dois continuer à croire que tout est possible. » –Eddy Nolan
Max Dubois aspire à vivre pleinement
Quand Max Dubois a reçu un diagnostic de cancer de la gorge, il était absolument dévasté. Son père et son beau-frère avaient tous les deux perdu la vie en raison du cancer, et il craignait que les hommes de sa famille soient condamnés par le destin. Son cancer était causé par le virus du papillome humain (VPH), un virus courant qui peut causer plusieurs types de cancer. Après six interventions chirurgicales réussies par le Dr Nader Sadeghi, Max a décidé de vivre dans la gratitude, aussi bien pour l’humanité et l’empathie de son équipe soignante que pour la vie. Chaque jour, il est reconnaissant d’être vivant, et il est déterminé à aider d’autres personnes en partageant son histoire, en militant pour la vaccination contre le VPH et en recueillant des fonds. Tous les dons pour appuyer le Dr Sadeghi et la recherche et les soins du cancer de la gorge seront doublés jusqu’à concurrence de 100 000 $ par La Fondation Famille Mongeau.
« La solution pour faire face au cancer, c’est l’amour et l’empathie. L’amour de sa famille et de ses amis. L’empathie de médecins extraordinaires comme le Dr Sadeghi. » –Max Dubois
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La mission de Julie Snyder pour éliminer le cancer de l’ovaire
Julie Snyder défend le dépistage précoce du cancer de l’ovaire
Julie Snyder, personnalité télévisuelle très populaire et animatrice de La Semaine des 4 Julie sur les ondes de Noovo, s’est donné comme mission de sauver la vie de femmes comme sa mère, qui est morte du cancer de l’ovaire. À l’occasion de la Journée mondiale contre le cancer, elle recueille des fonds pour appuyer le projet DOvEE, un nouveau test qui peut dépister les cancers de l’ovaire et de l’endomètre à un stade précoce, avant qu’ils se transforment en sentence de mort. Mis au point par la Dre Lucy Gilbert, ce test pourrait sauver d’innombrables vies. Julie croit fermement à l’importance du travail de la Dre Gilbert, et elle participe même au dernier essai clinique du test DOvEE. Joignez-vous à Julie pour appuyer la Dre Gilbert et le projet DOvEE et faites un don aujourd’hui.
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Joignez-vous au mouvement